Rôle des liens dans le référencement

Voici le contenu de mon intervention au forum W3campus fin mars 2007 ( au passage,  réservez votre place pour la prochaine édition  , vous ne serez pas déçus! ) qui avait lieu à Marseille. Elle a toute sa place ici puisque sont thème était le « rôle des liens dans le référencement »…

Le rôle des liens dans le référencement

Préambule :

Au début des années 2000 annuaires et moteurs se partageaient le domaine de la recherche d’informations. Outre Yahoo! et l’Open Directory, les noms de Excite, Infoseek, Lycos, Looksmart, Snap, Wanadoo et Nomade en France étaient familiers lorsqu’on parlait de référencement.

Le « combat » annuaires / moteurs a tourné à l’avantage de ces derniers et quelques annuaires survivants ont intégré une approche « moteur ». A cette époque, les moteurs indexaient en général très rapidement les pages (parfois presque dans la minute comme Infoseek), les metas keywords étaient pris en compte dans leurs algorithmes et on ne parlait pas alors de « backlinks » ou de liens entrants en tant que critère favorisant le positionnement d’un site. D’ailleurs, on ne pas sur les liens entrants pour se faire indexer, on préférait une soumission dans chaque moteur des principales pages …
Les liens « en dur » appartenaient donc au monde des annuaires, pas à celui des moteurs et s’ils étaient pris en compte dans le référencement c’était pour les vraies visites qu’ils étaient susceptibles de générer. À ce seul titre, sur était prêt à payer pourcela (Yahoo!, Wanadoo etc.)

1) Rôle des liens à la frontière du référencement

1.1) Les liens servent à l’internaute comme au robot à naviguer de page en page ou de site en site. Ils constituant un grand maillage qui équivalent à un ensemble de voies étendues sur des carrefours, des autoroutes, voies rapides, nationales, départementales, chemin vicinaux… Ainsi un lien issu de la home page d’un grand portail (carrefour de voies rapides et d ‘autoroutes) conduit essentiellement à des ressources reconnues ou intéressant le plus grand nombre (ne serait-ce que pour des questions de rentabilité). En revanche un lien issu d’une sous-page d’un site personnel même s’il peut désigner une ressource utile et reconnue conduit le plus souvent à une ressource très spécifique voire marginale…
La « présomption d’importance » du site pointé par le lien est donc parfaitement acceptable lorsque ce lien est placé à partir d’une zone à fort trafic. De plus, ce crédit lié à la qualité du lien se renforce d’autres routes (ou mieux ; autoroutes) et de cette qualité. Il était donc normal que les moteurs intègrent le potentiel de trafic présumé des zones ou se situent ces liens en faisant un critère d’importance ou de pertinence.

1.2) Les liens sont aussi une source non négligeable de trafic ( selon les sources on obtient des chiffres se situant entre 3 et 30 % environ) Dans tous les cas ces chiffres varient considérablement selon le secteur concerné (la part du trafic issue de liens naturels est la plus faible lorsqu’il s’agit de sites de e-commerce en revanche elle est extrêmement forte lorsqu’il s’agit de sites dans la thématique du tourisme).

2) Les différents types de liens

2.1) Liens internes

Leur rôle est de guider l’internaute de manière à lui faciliter l’accès à l’ensemble des pages susceptibles de l’intéresser de manière contextuelle. Listés dans un plan ils
constituent la table d’orientation du site. De la même manière les liens doivent orienter le moteur en lui offrant une visite guidée. A ce titre chaque lien se doit d’être explicite et le choix des ancres désignant les pages à visiter constitue autant d’étiquettes qui donneront au moteur (comme à l’internaute d’ailleurs) une information potentiellement pertinente sur la page qu’il va crawler.
Souvent négligés du point de vue du référencement ils constituent pourtant un axe d’optimisation sur lequel on a une maîtrise complète. On peut par exemple mettre en
avant les parties du site que l’on souhaite booster en les rassemblant dans des pages  de liens thématiques (à la manière des tags).

2.2) Liens externes

Ils constituent sans doute l’élément le plus important dans une stratégie de référencement. « Co-désignant » un site, ils constituent le vote du public la reconnaissance et la pertinence relativement aux mots qui le désignent (l’ancre du lien) et, dans une moindre mesure pour l’instant, au contexte de la page dans laquelle ils sont placés.
Le nombre de liens externes ainsi que le poids de ces liens (leur importance jugée elle-même en nombre et en « qualité » de liens pointant vers eux) est ainsi pris en
compte par les moteurs de recherche. En effet ils conditionnent pour partie le positionnement dans des moteurs tels que Google, Yahoo , Msn… et ils facilitent l’indexation d’un site. Ils sont au centre de l’algorithme du PageRank de Google qui permet de matérialiser par une petite barre verte la « popularité » d’une site mesurée au nombre de liens et au poids des liens pointant vers lui.
Cela explique aisément pourquoi la recherche de liens externes constitue une des activités les plus stratégiques (et sans doute la plus chronophage) du référenceur amateur et parfois aussi du professionnel. Depuis le PageRank le rapport au lien a considérablement évolué, le don s’est transformé en troc et une véritable économie du mode des liens s’est mise en place.
En ce sens Google qui voulait tirer partie du « bénévolat » des webmasters qui étiquetaient leurs liens avec des ancres (ce qui permettait au moteur de renouer avec
la pertinence de l’annuaire en faisant appel au jugement humain) est sans doute à l’origine du « pervertissement » de la philosophie originelle du lien .
Cette évolution est en train de conduire certains webmasters qui font encore des liens vers des ressources utiles à les utiliser avec l’attribut « nofollow » par crainte de perdre leur PR (voir ci-dessous) et à faire des liens directs « inutiles » (bien que « boostant » le site cible) pour l’internaute mais utiles à leurs yeux de capitalistes du PR… Le critère de pertinence est donc inversé…

2.3) Liens textes et liens images

Le lien texte entrant est souvent privilégié par les webmasters qui lui attribuent un poids plus fort dans sa capacité à aider au positionnement de combinaisons de mots clés choisis. Pourtant un lien image (s’il contient une balise « Alt » bien renseignée) donne également de très bons résultats et peut permettre du fait de sa plus grande visibilité d’attirer l’oeil et donc la visite de l’internaute . De plus il devrait paraître a priori moins suspect.

2.4) Liens sortants: pertinence ou fuite du PR ?

S’il faut a priori éviter de placer des liens vers d’autres sites à partir de sa home page pour ne pas encourager ses visiteurs à partir trop vite, il en est sans doute de même pour les moteurs qui pourraient considérer qu’un lien vers un site externe est aussi important qu’un lien vers une autre page du même site aux yeux du propriétaire du site lui-même… L’algorithme du PageRank tel qu’on le connaît conduit forcement à être très prudent avec les liens sortants des pages les plus « fortes » (donc notamment de la home page).  Néanmoins, je ne pense pas qu’avoir des liens sortants pertinents puisse nuire à son référencement au contraire… Au nom de quoi un site présentant des ressources utiles serait moins « fort » ou devrait-il subir un handicap dans son PageRank ?

– Un site ne présentant aucun lien sortant semble-t-il à priori plus utile et pertinent qu’un site présentant un complément de ressources extérieures ?
– Un site qui n’a que des liens sortants en nofollow ne devient-il pas suspect aux yeux des moteurs ?
Ces remarques sont des remarques de « bons sens » et il serait curieux que les moteurs n’aient pas cherché (ou ne cherchent pas) à les formaliser, il en va de leur pertinence.
De plus certaines expériences dont celles du « Hub » ont montré que le « lâcher de liens » n’est pas un sport dangereux pour le site qui s’y livre…

2.5) Liens unilatéraux, réciproques, triangulaires…

Les moteurs privilégient les liens « spontanés ». On dit souvent que si Google a voulu acquérir un statut de registrar ce n’est pas pour vendre des noms de domaines mais pour mieux savoir qui se cache derrière un nom de domaine: y a t-il un lien de « parenté » entre un site A et un site B (voire entre un site A, B et C…) ?
Le lien étant un vote, il peut devenir suspect s’il est monnayé d’une manière ou d’une autre (par un échange direct ou indirect). Force est de constater que les échanges de liens fonctionnent encore très bien aujourd’hui y compris dans leurs formes les plus critiquables (en automatique ou en « footer » dans des domaines non ciblés).
Ayant vu google s’attaquer aux sites satellites, aux liens cachés (dans des javascript , dans des tables invisibles…) , je pense qu’il en sera de même assez rapidement pour
les liens échangés pour leur seul PageRank. Dans ce cas, tout ou presque sera à recommencer pour ceux qui en ont fait leur unique stratégie sauf s’ils ont su avoir
une approche plus « évoluée » et plus fine de cette technique…
Il est vrai que les liens s’achètent aussi et dans ce cas ils sont unilatéraux… mais Google à trouvé la parade : il demande au vendeur de se « dénoncer » (et de  « dénoncer » l’acheteur) par un nofollow ;-)

2.6) Liens durs / liens redirigés :

Les liens en dur sont des liens directs sous la forme : mon beau blog sur les liens Ils peuvent être accompagnés d’un javascript définissant une action (si javascript est
activé sur le navigateur). Ces liens améliorent le référencement du site vers lequel ils pointent en favorisant le positionnement du mot clé choisi dans l’ancre du lien. En revanche les liens en javascript seuls, les méta refresh, les redirections 301, 302 ou les redirections en frames n’améliorent pas le référencement et peuvent parfois le
contrarier en positionnant celui qui fait le lien à la place de celui vers lequel il pointe…

Il faut néanmoins noter qu’un lien reste un lien et si tous n’ont pas la même valeur pour le référencement c’est tout simplement parce que les moteurs ne savent pas bien les interprètes. On peut parier que les choses vont rapidement évoluer dans ce

Voici le contenu de mon intervention au forum W3campus fin mars 2007 ( au passage,  réservez votre place pour la prochaine édition  , vous ne serez pas déçus! ) qui avait lieu à Marseille. Elle a toute sa place ici puisque sont thème était le « rôle des liens dans le référencement »…

Le rôle des liens dans le référencement

Préambule :

Au début des années 2000 annuaires et moteurs se partageaient le domaine de la recherche d’informations. Outre Yahoo! et l’Open Directory, les noms de Excite, Infoseek, Lycos, Looksmart, Snap, Wanadoo et Nomade en France étaient familiers lorsqu’on parlait de référencement.

Le « combat » annuaires / moteurs a tourné à l’avantage de ces derniers et quelques annuaires survivants ont intégré une approche « moteur ». A cette époque, les moteurs indexaient en général très rapidement les pages (parfois presque dans la minute comme Infoseek), les metas keywords étaient pris en compte dans leurs algorithmes et on ne parlait pas alors de « backlinks » ou de liens entrants en tant que critère favorisant le positionnement d’un site. D’ailleurs, on ne pas sur les liens entrants pour se faire indexer, on préférait une soumission dans chaque moteur des principales pages …
Les liens « en dur » appartenaient donc au monde des annuaires, pas à celui des moteurs et s’ils étaient pris en compte dans le référencement c’était pour les vraies visites qu’ils étaient susceptibles de générer. À ce seul titre, sur était prêt à payer pourcela (Yahoo!, Wanadoo etc.)

1) Rôle des liens à la frontière du référencement

1.1) Les liens servent à l’internaute comme au robot à naviguer de page en page ou de site en site. Ils constituant un grand maillage qui équivalent à un ensemble de voies étendues sur des carrefours, des autoroutes, voies rapides, nationales, départementales, chemin vicinaux… Ainsi un lien issu de la home page d’un grand portail (carrefour de voies rapides et d ‘autoroutes) conduit essentiellement à des ressources reconnues ou intéressant le plus grand nombre (ne serait-ce que pour des questions de rentabilité). En revanche un lien issu d’une sous-page d’un site personnel même s’il peut désigner une ressource utile et reconnue conduit le plus souvent à une ressource très spécifique voire marginale…
La « présomption d’importance » du site pointé par le lien est donc parfaitement acceptable lorsque ce lien est placé à partir d’une zone à fort trafic. De plus, ce crédit lié à la qualité du lien se renforce d’autres routes (ou mieux ; autoroutes) et de cette qualité. Il était donc normal que les moteurs intègrent le potentiel de trafic présumé des zones ou se situent ces liens en faisant un critère d’importance ou de pertinence.

1.2) Les liens sont aussi une source non négligeable de trafic ( selon les sources on obtient des chiffres se situant entre 3 et 30 % environ) Dans tous les cas ces chiffres varient considérablement selon le secteur concerné (la part du trafic issue de liens naturels est la plus faible lorsqu’il s’agit de sites de e-commerce en revanche elle est extrêmement forte lorsqu’il s’agit de sites dans la thématique du tourisme).

2) Les différents types de liens

2.1) Liens internes

Leur rôle est de guider l’internaute de manière à lui faciliter l’accès à l’ensemble des pages susceptibles de l’intéresser de manière contextuelle. Listés dans un plan ils
constituent la table d’orientation du site. De la même manière les liens doivent orienter le moteur en lui offrant une visite guidée. A ce titre chaque lien se doit d’être explicite et le choix des ancres désignant les pages à visiter constitue autant d’étiquettes qui donneront au moteur (comme à l’internaute d’ailleurs) une information potentiellement pertinente sur la page qu’il va crawler.
Souvent négligés du point de vue du référencement ils constituent pourtant un axe d’optimisation sur lequel on a une maîtrise complète. On peut par exemple mettre en
avant les parties du site que l’on souhaite booster en les rassemblant dans des pages  de liens thématiques (à la manière des tags).

2.2) Liens externes

Ils constituent sans doute l’élément le plus important dans une stratégie de référencement. « Co-désignant » un site, ils constituent le vote du public la reconnaissance et la pertinence relativement aux mots qui le désignent (l’ancre du lien) et, dans une moindre mesure pour l’instant, au contexte de la page dans laquelle ils sont placés.
Le nombre de liens externes ainsi que le poids de ces liens (leur importance jugée elle-même en nombre et en « qualité » de liens pointant vers eux) est ainsi pris en
compte par les moteurs de recherche. En effet ils conditionnent pour partie le positionnement dans des moteurs tels que Google, Yahoo , Msn… et ils facilitent l’indexation d’un site. Ils sont au centre de l’algorithme du PageRank de Google qui permet de matérialiser par une petite barre verte la « popularité » d’une site mesurée au nombre de liens et au poids des liens pointant vers lui.
Cela explique aisément pourquoi la recherche de liens externes constitue une des activités les plus stratégiques (et sans doute la plus chronophage) du référenceur amateur et parfois aussi du professionnel. Depuis le PageRank le rapport au lien a considérablement évolué, le don s’est transformé en troc et une véritable économie du mode des liens s’est mise en place.
En ce sens Google qui voulait tirer partie du « bénévolat » des webmasters qui étiquetaient leurs liens avec des ancres (ce qui permettait au moteur de renouer avec
la pertinence de l’annuaire en faisant appel au jugement humain) est sans doute à l’origine du « pervertissement » de la philosophie originelle du lien .
Cette évolution est en train de conduire certains webmasters qui font encore des liens vers des ressources utiles à les utiliser avec l’attribut « nofollow » par crainte de perdre leur PR (voir ci-dessous) et à faire des liens directs « inutiles » (bien que « boostant » le site cible) pour l’internaute mais utiles à leurs yeux de capitalistes du PR… Le critère de pertinence est donc inversé…

2.3) Liens textes et liens images

Le lien texte entrant est souvent privilégié par les webmasters qui lui attribuent un poids plus fort dans sa capacité à aider au positionnement de combinaisons de mots clés choisis. Pourtant un lien image (s’il contient une balise « Alt » bien renseignée) donne également de très bons résultats et peut permettre du fait de sa plus grande visibilité d’attirer l’oeil et donc la visite de l’internaute . De plus il devrait paraître a priori moins suspect.

2.4) Liens sortants: pertinence ou fuite du PR ?

S’il faut a priori éviter de placer des liens vers d’autres sites à partir de sa home page pour ne pas encourager ses visiteurs à partir trop vite, il en est sans doute de même pour les moteurs qui pourraient considérer qu’un lien vers un site externe est aussi important qu’un lien vers une autre page du même site aux yeux du propriétaire du site lui-même… L’algorithme du PageRank tel qu’on le connaît conduit forcement à être très prudent avec les liens sortants des pages les plus « fortes » (donc notamment de la home page).  Néanmoins, je ne pense pas qu’avoir des liens sortants pertinents puisse nuire à son référencement au contraire… Au nom de quoi un site présentant des ressources utiles serait moins « fort » ou devrait-il subir un handicap dans son PageRank ?

– Un site ne présentant aucun lien sortant semble-t-il à priori plus utile et pertinent qu’un site présentant un complément de ressources extérieures ?
– Un site qui n’a que des liens sortants en nofollow ne devient-il pas suspect aux yeux des moteurs ?
Ces remarques sont des remarques de « bons sens » et il serait curieux que les moteurs n’aient pas cherché (ou ne cherchent pas) à les formaliser, il en va de leur pertinence.
De plus certaines expériences dont celles du « Hub » ont montré que le « lâcher de liens » n’est pas un sport dangereux pour le site qui s’y livre…

2.5) Liens unilatéraux, réciproques, triangulaires…

Les moteurs privilégient les liens « spontanés ». On dit souvent que si Google a voulu acquérir un statut de registrar ce n’est pas pour vendre des noms de domaines mais pour mieux savoir qui se cache derrière un nom de domaine: y a t-il un lien de « parenté » entre un site A et un site B (voire entre un site A, B et C…) ?
Le lien étant un vote, il peut devenir suspect s’il est monnayé d’une manière ou d’une autre (par un échange direct ou indirect). Force est de constater que les échanges de liens fonctionnent encore très bien aujourd’hui y compris dans leurs formes les plus critiquables (en automatique ou en « footer » dans des domaines non ciblés).
Ayant vu google s’attaquer aux sites satellites, aux liens cachés (dans des javascript , dans des tables invisibles…) , je pense qu’il en sera de même assez rapidement pour
les liens échangés pour leur seul PageRank. Dans ce cas, tout ou presque sera à recommencer pour ceux qui en ont fait leur unique stratégie sauf s’ils ont su avoir
une approche plus « évoluée » et plus fine de cette technique…
Il est vrai que les liens s’achètent aussi et dans ce cas ils sont unilatéraux… mais Google à trouvé la parade : il demande au vendeur de se « dénoncer » (et de  « dénoncer » l’acheteur) par un nofollow ;-)

2.6) Liens durs / liens redirigés :

Les liens en dur sont des liens directs sous la forme : mon beau blog sur les liens Ils peuvent être accompagnés d’un javascript définissant une action (si javascript est
activé sur le navigateur). Ces liens améliorent le référencement du site vers lequel ils pointent en favorisant le positionnement du mot clé choisi dans l’ancre du lien. En revanche les liens en javascript seuls, les méta refresh, les redirections 301, 302 ou les redirections en frames n’améliorent pas le référencement et peuvent parfois le
contrarier en positionnant celui qui fait le lien à la place de celui vers lequel il pointe…

Il faut néanmoins noter qu’un lien reste un lien et si tous n’ont pas la même valeur pour le référencement c’est tout simplement parce que les moteurs ne savent pas bien les interprètes. On peut parier que les choses vont rapidement évoluer dans ce